Vous allez acquérir des outils en fonction de vos ressentis et de votre personnalité. Vous saurez comment stopper la peur et revenir rapidement au calme avec une thérapeute expérimentée.
Vous parviendrez à mieux vous concentrer lors des examens, à vous sentir en pleine possession de vos moyens.
Vous apprendrez comment mettre en place dans votre quotidien un rituel qui vous sécurise, et comment réagir face aux événements déclencheurs de peur ou de panique.
Entre les séances, il est nécessaire de s'entraîner avec les enregistrements spécialement conçus pour vous que je vous enverrai. Vous aborderez ainsi les examens ou entretien ou tout simplement la vie avec sérénité et confiance.
Selon les personnes et l'antériorité du problèmes 3 à 5 séances ont été suffisantes. Un mieux-être est ressenti dès la 1ère séance.
Vous allez retrouver confiance en vous et en vos capacités de réussite.
Améliorer votre connaissance de vous-même, ou votre estime de vous-même, trouver votre voie, mettre en valeur vos talents, donner plus de sens à votre vie, travailler sur vos capacités ...Contactez-moi pour toutes questions
Si vous avez mal au ventre avant les examens, c'est normal si vous souffrez de stress important avant un moment important pour vous. Votre mal au ventre va disparaître avec les séances.
Vous pouvez vous demander si vous souffrez d'attaque de panique, qu'est-ce qui caractérise une attaque de panique ?
Une attaque de panique est une montée brusque de sensation désagréable intense en quelques minutes accompagnée d'au moins 4 des symptômes suivants :
1. Palpitations, battements de cœur sensibles ou accélération du rythme cardiaque.
2. Transpiration
3. Tremblements ou secousses musculaires
4. Sensations de « souffle coupé » ou impression d’étouffement
5. Sensation d’étranglement
6. Douleur ou gêne thoracique
7. Nausée ou gêne abdominale
8. Sensation de vertige, d’instabilité, de tête vide ou impression d’évanouissement
9. Frissons ou bouffées de chaleur
10. Paresthésies (sensations d’engourdissement ou de picotements)
11. Déréalisation (sentiments d’irréalité) ou dépersonnalisation (être détaché de soi)
12. Peur de perdre le contrôle de soi ou de « devenir fou »
13. Peur de mourir
vous pouvez venir à bout de ces attaques de panique, contactez-moi
Vous pouvez vous demander si vous souffrez du syndrome de l'imposture ? Comme une sorte de dépréciation qui empêche d'agir ?
Le syndrome de l’imposteur donne à celui qui le vit le sentiment de ne pas mériter la place qu’il occupe. Il puise ses origines dans des ego malmenés et dans la nécessité que nous éprouvons de nous comparer aux autres.
Comment vaincre le syndrome de l'imposteur ou Impostérisme ?
- Avez-vous déjà eu l'impression que, peu importe les progrès que vous faites ou le succès que vous obtenez, vous ne le méritiez pas vraiment ?
- envie d’agir, mais ne pas le faire ?
- procrastiner ?
- vous perdre sur internet à la recherche d’inspiration, mais vous faire happer par la comparaison ?
- avoir des phrases « négatives » qui reviennent sans cesse : « je n’y arriverai pas ; d’autres feront mieux que moi, je n’ai pas assez de diplômes pour faire cela, les autres ou mes pairs vont me juger, (et le pire pour moi) je ne serai jamais capable », etc...
- rester dans sa zone de connu/confort ;
- laisser de côté vos envies, voire vos rêves, par peur, etc...
Se sentir comme un « Imposteur » est un phénomène qui afflige de nombreuses personnes y compris celles qui réussissent. Nous pouvons citer l'écrivain Maya Angelou et le physicien Albert Einstein , qui pensaient tous deux ne pas mériter l'attention que leur travail a reçue.
Ce sentiment d’insécurité injustifié est connu sous le nom de « syndrome de l’imposteur » ou Impostérisme . Cela engendre des sentiments comme si nous n'avions pas mérité notre succès ou que nos pensées ne méritaient pas d'attention. Dans certains cas, cela peut même empêcher les gens de partager des idées, de postuler à l'université ou d'occuper certains emplois.
Qu'est-ce que le syndrome de l'imposteur?
Le syndrome de l'imposteur a été étudié pour la première fois par la psychologue Pauline Rose Clance en 1978. Malgré son nom, ce n'est pas une maladie ou une anomalie, et n'est pas lié à la dépression, l'anxiété ou l'estime de soi. C'est juste un sentiment quels que soient le sexe, la race, l'âge et la profession. «Les gens qui sont hautement qualifiés ou accomplis ont tendance à penser que les autres sont tout aussi qualifiés»
C'est ce qui rend le syndrome de l'imposteur si répandu, c'est que nous nous remettons chacun en question en privé, nous croyons que nous sommes seuls dans nos doutes parce que personne d'autre n'exprime ses propres pensées. «Comme il est difficile de savoir à quel point nos pairs travaillent dur, à quel point ils trouvent certaines tâches difficiles ou à quel point ils doutent d'eux-mêmes, il n'y a pas de moyen facile de rejeter le sentiment que nous sommes moins capables que les gens autour de nous», dit Mme Cox .
Une expérience transitoire
Actuellement, ce syndrome est communément reconnu. La principale critique portée au concept concerne l’appellation. Plutôt que de « syndrome », ce qui renvoie à une maladie, les psychologues préfèrent dorénavant parler d’une expérience temporaire. Cette appellation ne doit pas empêcher de chercher de l'aide ou d'en parler!
Pour toutes questions, je serai heureuse de vous répondre,
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